La33eme édition de la France En Courant est terminée ! Vive la 34e é dition ! Nous vous donnons RV le vendredi 14 Juillet 2023,pour le départ du prologue à Luxeuil les Bains le samedi 15 juillet. Félicitations aux vainqueurs et toute notre considération sportive et humaine à toutes coureurs. Voir plus. La France en Courant. Hier, à 12:32. Itinéraire et temps de passage de la
La France suffoque de chaleur et nous sommes toujours aussi nombreux à nous rendre au travail, sans que cela apparaisse dans le débat public comme l’une des principales causes du dérèglement climatique. Emmanuel Macron a annoncé le 14 juillet 2022 un plan de sobriété qui sera présenté à la rentrée. Mais qu’en est-il de notre sobriété à travailler ?Nous sommes maintenus dans une société qui a érigé le travail rémunéré comme sa valeur centrale. Ce qui agit sur nous comme une obligation existentielle, morale et financière à exercer un travail rémunéré coûte que coûte, au risque de nous retrouver exclus de la obligation à la démesureCette incapacité à pouvoir arrêter de travailler génère en nous une obligation à la démesure. Nous sommes forcés de produire inlassablement, toujours trop de biens et de services contre notre libre capacité à nous mettre des limites. Et même si nous remplacions la totalité de nos productions polluantes par d’autres, plus vertueuses et écoresponsables, nous en produirions toujours trop, car l’obligation de travail rémunéré l’exige. Le développement durable ne suffirait pas à nous sortir du cycle infernal de la production bonne logique serait que nous arrêtions de travailler lorsque tous nos besoins sont assouvis, sans tomber dans le piège d’en produire à l’excès. Or, ce qui se passe est l’inverse. Nous sommes forcés de travailler, et donc de produire sans arrêt de nouveaux biens et services, en nous forçant les uns par rapport aux autres à ressentir à tout prix la frustration d’en avoir besoin. Ce qui fait que nous vivons collectivement dans une perpétuelle sensation de pénurie, insatisfaits et bombardés de signaux pénibles. Et avec ces malaises, perdure l’illusion que nous ne produisons pas assez pour atteindre l’abondance et la satiété de nos vies, puisque sans arrêt de nouveaux besoins se font sentir. Nous avons vaincu la rareté matérielle à un niveau sans précédent dans l’histoire de l’humanité, et nous échouons mettre des limitesFace à l’urgence climatique, il est temps de changer de logique. Courir derrière des besoins illimités est une impasse écologique, tout autant qu’existentielle. Le grand enjeu du XXIe siècle est de casser les chaînons du travail obligatoire, pour retrouver notre saine capacité à nous mettre des limites. Le revenu universel pourrait être cette planche de salut, grâce aux questionnements qu’il soulève et par la sécurité qu’il procurerait. Une idée coup de poing qui viendrait briser les chaînes de l’obligation existentielle, morale et financière au travail rémunéré. Verser à tous, et sans conditions, un revenu suffisant pour mener une vie sobre, digne et décente, hors de l’état de pauvreté, avec la capacité de se passer durablement d’un travail est d’entrer dans la logique d’un travail rémunéré accompli à la juste mesure de nos besoins supplémentaires à satisfaire. Il est destructeur de forcer l’être humain à s’autogaver en permanence de besoins illimités. La plupart d’entre nous aspirons à vivre dans l’abondance de besoins volontairement limités, et à travailler autant que nécessaire pour ceux-là. Nous sommes bien plus intelligents, soucieux des autres et de la planète lorsque nous pouvons fixer des limites à nos besoins. À l’échelle de millions de personnes, ces multitudes de choix libérés permettraient de former une société radicalement nouvelle, opulente, équilibrée, satisfaite et rassasiée de ce qu’elle possède. Une société où la nature et la taille de notre production seraient proportionnées à la juste hauteur de nos besoins individuels et collectifs.
Touten nous donnant une leçon de vie positive, elles nous révèlent la magie de la vie ! Et c'est tout simplement formidable. Ces phrases nous aident aussi à passer les moments difficiles de la vie. Elles sont une source inspirante pour votre développement personnel. Nous avons sélectionné pour vous les plus belles citations sur la vie.
Distribution de lots . Vendredi, l'association Ensemble pour la vie courir pour Curie a organisé la distribution des 397 lots de sa tombola. Rendez-vous était donné à la salle polyvalente d'Attray. Mais avant cela Dominique Gauchet, Annick Beauvallet et Marie-Françoise ont donné de leur temps pour mettre en sachets tous ces cadeaux. Les premiers lots étaient un séjour en mobile home de trois jours pour six personnes et une soirée cabaret avec dîner pour 2 personnes. Les bénévoles Frédéric, Marie-Françoise, Dominique, Annick, Aurélien et Martine ont assuré la distribution des lots les villages où résidaient les gagnants. Avec ses 70 chanceux, Bazoches-les-Gallerandes remporte la palme. L'association Ensemble pour la vie, courir pour Curie donne désormais rendez-vous au public, samedi 24 novembre à la salle polyvalente de Charmont-en-Beauce pour un concert dont les bénéfices permettront de financer ses actions. Sur scène, le public pourra retrouver l'harmonie de Terminiers, la Bazochoise et les Échos de la forêt d'Orléans. De quoi satisfaire toutes les oreilles, de Mozart aux trompes de chasse. J'y vais. Rendez-vous samedi 24 novembre, à 20 h 30, à la salle des fêtes de Charmont-en-Beauce.

Lesathlètes de la course La France en courant, l’épreuve pédestre en relais la plus longue de France, ont fait étape, pour la première fois dans l’édition 2019, à Fondamente.

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Hier à Châlons, pour la 23e édition de Courir pour la Vie, l’ensemble du peloton (1 750 participants) s’est beaucoup hydraté. Avec une température bien au-dessus des 20o, il a fallu
Par Gérard CléryPublié le 04/10/2018 à 3h49 Chaque premier samedi d’octobre, le Centre intercommunal d’action sociale CIAS du Pays grenadois organise une matinée consacrée à la lutte contre le cancer. Cette 28e édition, tout comme les précédentes, a pour unique objectif de collecter des fonds pour l’association Courir pour la vie, courir pour Curie, qui soutient le programme de recherche sur le médulloblastome, tumeur du cerveau qui touche essentiellement les jeunes enfants. Cette manifestation propose à la fois animations ludiques pour petits et grands et activités sportives. Deux marches de 5 et 10 kilomètres seront ainsi organisées au départ de la place des Tilleuls, à 9 heures. Les premières foulées se feront en commun, sur une distance de 2,5 km, ce qui permettra aux personnes trop ambitieuses, lors de l’inscription, de se rabattre sur le circuit le plus court, et vice-versa. Deux randonnées cyclistesEn parallèle, deux randonnées cyclistes de 34 et 52 kilomètres démarreront du même endroit, à 9 h 15. Elles sillonneront le Pays grenadois en faisant étape dans plusieurs communes du territoire, qui offriront de petites collations à tous les participants. Petite nouveauté cette année, de 10 heures à midi, plusieurs sessions de renforcement musculaire en musique seront proposées face à l’Adour, sur la terrasse du siège de la Communauté de communes du Pays grenadois. Enfin, à la traditionnelle vente de pâtisseries et à l’opération pare-brise propre, menée par les adolescents de l’Espace jeunes, se rajouteront deux animations familiales. La première sera une initiation aux échasses, la seconde une invitation à découvrir de multiples jeux de plateau et d’adresse en bois. Rendez-vous samedi, dès 8 h 45, sur la place des Tilleuls, pour soutenir cette grande cause. Les inscriptions aux marches et aux randonnées cyclistes se feront sur place, le matin même. Port du gilet jaune obligatoire pour les cyclistes. Programme complet sur Renseignements complémentaires au 05 58 45 44 42.

En2011, c'est plus de 90.000 euros collectés et 15.000 Français qui ont relevé des défis sportifs par générosité et convivialité, mobilisés par l'association « Courir pour la Vie, Courir pour Curie », pour soutenir la recherche sur le cancer.Ainsi, en 23 ans pour l'Institut Curie, l'association « Courir pour la Vie, Courir pour Curie » aura mobilisé près de 950.000 participants

17 June 2022Auteur Mélina Massias Son nom n’évoque peut-être rien aux plus novices des fans de jumping. Pourtant, l’histoire de Fernando Martinez Sommer vaut le détour. La vie, ou peut-être encore davantage sa volonté d’acier et son abnégation sans limite, l’ont conduit jusqu’à remporter sa première épreuve 5*, début juin, à Cannes. Du Mexique, où il a goûté aux joies et plaisirs de l’équitation avant de mettre en œuvre un plan rempli de détermination pour atteindre ses rêves, en passant par les Etats-Unis, où il a évolué deux années, jusqu’en Europe, le souriant trentenaire n’a jamais baissé les bras, se forgeant une carrière d’autodidacte. Loin de se croire arriver, le Mexicain nourrit encore de nombreuses ambitions, qu’il entend bien embrasser à bras le corps, comme il l’a toujours fait jusqu’à maintenant. Fort d’un système solide, d’une existence épanouie et d’un amour des chevaux inoxydable, Fernando Martinez Sommer pourrait bien faire parler encore plus de lui dans les prochains première partie de cet article est à relire rêve est bien réel pour le cavalier Mexicain. Depuis qu’il a posé ses valises en Europe, en Belgique d’abord puis aux Pays-Bas, Fernando Martinez Sommer a connu une progression constante, jusqu’à atteindre le deux-cent-soixante-cinquième rang mondial. S’il figurait légèrement plus haut dans le classement édité par la Fédération équestre mondial FEI avant son grand saut dans l’inconnu sur le Vieux Contient, le pilote de trente-deux ans a regagné pas loin de trois cents places entre 2021 et 2022. “La première fois que j’ai rencontré Juan Carlos et que nous avons commencé notre projet, je lui ai directement dit que mon objectif à long terme était de faire partie des dix meilleurs du monde”, se projette-t-il. “Voilà ce que je veux accomplir dans le sport. Pour le reste, j’aimerais avoir un business stable, être présent pour ma femme et pourquoi pas fonder une famille à l’avenir. Je souhaite trouver un équilibre entre une vie de famille et la passion que nous partageons pour le sport. Ce n’est pas simple à obtenir, mais je vais travailler pour rires.”Pour obtenir une place au sein du disputé “top ten”, Fernando sait qu’il devra compter sur des performances solides et régulières. Depuis le début de l’année, et son arrivée au sein d’une équipe de Global Champions, le souriant cavalier s’est qualifié pour quatre Grands Prix des cinq étapes qu’il a disputé sur le lucratif circuit fondé par Jan Tops. Classé dans le temps fort du CHI d’Al Shaqab, puis à Madrid et Hambourg, le Mexicain a signé sa meilleure performance 2022 à Cannes, terminant cinquième de l’épreuve phare, au terme d’un week-end plus que réussi. “J’étais vraiment ravi que Charlie Harper remporte son épreuve. Le parcours suivant le Grand Prix, ndlr était la deuxième épreuve de ce niveau que courait mon autre cheval, High Five, que j’ai aussi depuis qu’il est jeune. Même si j’ai commis une faute sur le dernier obstacle du barrage, j’étais aux anges de la façon dont il a sauté ces deux parcours. Il a rendu ça tellement facile et a montré une immense qualité ! Cannes était vraiment quelque chose de spécial”, reprend et son génial High Five à Cannes, lors du Grand Prix 5*. © SportfotDes montures de talentCe week-end, rendez-vous est pris à Stockholm, pour la huitième étape du LGCT. Cette fois, les excellents High Five KWPN, Glasgow vh Merelsnest x Corland, dix ans tout juste, et Charlie Harper Westph, Comme Il Faut x Salinator, douze ans et en constante progression, laisseront place aux non moins talentueux Cor Bakker KWPN, Colandro x Quattro B, présent aux Jeux équestres mondiaux JEM de Tryon en 2018, et Lady van de Haarterhoeve BWP, Casall x Clarimo, encore en apprentissage. Ces quatre montures présentent un point commun toutes ont fait leurs premiers pas à haut niveau aux rênes de l’ambitieux athlète. “Cor Bakker est mon cheval le plus âgé. Il est à l’origine de toutes les opportunités que j’aie eues. Je l’ai acheté à huit ans au Mexique et j’ai fait mon premier 5* avec lui, à Calgary. Pouvoir compter sur lui m’a convaincu de sauter le pas et de venir en Europe, car je savais qu’il pouvait performer à haut niveau. Il a été une grande motivation pour moi et il est mon ami”, avoue-t-il. “Charlie Harper appartient à ma femme. Elle l’a acheté lorsqu’il avait sept ans. Elle m’a proposé de le monter pour quelques concours, et il devient de mieux en mieux. Il commence à se faire confiance et montre beaucoup de facilité. Pour moi, il a tout. High Five et Lady sont plus jeunes dix et onze ans, contre quinze et douze pour leurs voisins d’écurie, ndlr. Nous les avons fait progresser et ils disputent leurs premières belles épreuves. Ce n’est que le début pour eux, mais je suis très enthousiaste pour la suite, surtout avec High Five. Il a une super technique, une très bonne tête et des moyens. Peut-être qu’il sera un candidat pour les prochains Jeux olympiques. Je fonde en tout cas de grands espoirs en lui.”Avant Paris, sans doute faudra-t-il passer par Herning, où se tiendront les championnats du monde, en août prochain, ou par Milan, où sont prévus les Européens, en 2023. “Cette année, je ne suis pas vraiment sûr de participer à un championnat. Je pense qu’il ne serait pas juste d’imposer cela à Cor. J’ai le choix entre tenter ma chance à ce championnat ou le préserver pour le reste de l’année. Il a quinze ans, et même s’il est en pleine forme, je trouve que ce format est difficile. Si je prends soin de lui, je pense qu’il peut encore performer au moins deux ans à haut niveau, donc je veux vraiment le préserver. En parallèle, mes autres chevaux sont encore trop verts pour participer à un championnat. Ils débutent à peine à haut niveau. En outre, aller à Hambourg ou à Valkenswaard est un rêve pour moi et j’ai à cœur de répondre présent pour mon équipe sur le circuit du Global, par respect pour les opportunités qui me sont offertes. Cependant, je pense que d’ici à 2024, tout sera plus propice pour prétendre à une sélection. Mes chevaux auront plus d’expérience et j’aurais plus d’options”, livre sans détours et son fidèle Cor Bakker, lors de la Coupe des nations de Saint-Gall, l'année dernière. © SportfotPour autant, celui qui a déjà connu un grand championnat, en prenant le départ des JEM de Tryon, et s’est élancé dans plusieurs Coupes des nations de première division ces dernières années, ne délaisse pas son pays, qui monte en puissance sur la scène mondiale. “Je pense que le Mexique est en bonne posture en ce moment. Les concours progressent grandement. Il y a beaucoup de chouettes compétitions, dans de super endroits, avec des sols impeccables et un bon niveau. L’équipe nationale devient également de plus en plus forte. De jeunes talents émergent et, bien-sûr, je serais ravi de continuer à défendre mes couleurs. J’adore représenter mon pays et participer à des Coupes des nations est vraiment spécial. Je veux continuer à soutenir le Mexique et faire partie de notre équipe nationale”, respect en leitmotiv…Mais plutôt que de courir sur tous les tableaux, Fernando préfère mettre le respect au centre de son raisonnement. Du respect, d’abord, pour son équipe des Rome Gladiators. Mais, du respect, surtout, pour ses chevaux, qu’il chérit comme la prunelle de ses yeux. “Avoir ces quatre chevaux pour le haut niveau dans mon piquet est un rêve et une vraie chance. Ces cinq dernières années, je n’avais que Cor pour les plus grands événements. Pouvoir choisir et répartir les concours en fonction des points forts de chaque cheval fait toute la différence. Il y a beaucoup d’étapes du Global et de 5* en Europe. Avoir plusieurs chevaux pour affronter ces compétitions permet de prendre soin d’eux et de ne pas trop leur en demander sur une année. Pour moi, c’est le plus important. J’aime le sport, mais je préfère le quotidien avec les chevaux. Si on me disait que je ne pouvais plus jamais aller en concours de ma vie, je continuerais à monter tous les jours, parce que j’adore ça. Le sport me motive, et c’est mon rêve de faire partie du haut niveau, mais je ne pourrais jamais faire cela au détriment de mes chevaux. Je ne prendrais jamais une décision sportive qui ne soit pas la meilleure pour mes montures. Et, si je n’avais pas ces quatre chevaux, je ne concourrais pas autant”, confesse avec beaucoup de lucidité le cavalier. Avant d’ajouter “J’ai beaucoup de mal à commercialiser mes chevaux. Pour moi, vendre un cheval est aussi difficile que de se séparer de son chien. Je passe toujours de mauvais moments quand l’une de mes montures quitte mes écuries. Je fais donc toujours très attention à ce que mes anciens complices trouvent de bonnes maisons. Après tout ce qu’ils nous donnent, et parce que ce sont des animaux si gentils et humbles, ils le méritent. Je serais vraiment déprimé d’apprendre qu’un de mes chevaux est dans une écurie qui ne fait que l’utiliser. Heureusement, j’ai la chance d’avoir un super partenaire dans mon projet. Juan Carlos voit les choses comme moi et nous partageons la même passion pour les chevaux. Avant, j’avais des propriétaires pour qui l’argent était plus important que n’importe quoi d’autre. Avec Juan Carlos à mes côtés, je peux travailler sereinement tous les jours, sans être inquiet à l’idée qu’il puisse me retirer un cheval.” Le génial Charlie Harper, dont les similarités avec son géniteur sont frappantes ! © Mélina Massias… et la passion pour l’animal !À entendre Fernando parler de son sport, de ses objectifs et de ses montures, sa passion ne fait aucun doute. Le Mexicain considère d’ailleurs ses chevaux en tant que tel. À l’heure où les questions de bien-être animal agitent la sphère équestre, le pilote semble adopter un fonctionnement aussi proche que possible des vrais besoins de ses complices, loin de l'anthropomorphisme dans lequel beaucoup tombent souvent à tort, jugeant le degré de bonheur de leurs équidés à la quantité de soins qu’ils reçoivent. “Je n’appelle pas les vétérinaires à chaque retour de concours, mais seulement lorsque leur présence est justifiée. Mes chevaux passent la majeure partie de leur temps dehors. Pour moi, c’est très important qu’ils soient tout le temps en mouvement. Dans la nature, ils passent seize à dix-huit heures de leur journée à marcher. Cela améliore la circulation sanguine, qui affecte directement les tendons, les ligaments et les articulations, permettant de soigner toutes les petites inflammations. Et la circulation sanguine dépend du mouvement. En parallèle, je fais en sorte de ne jamais trop faire sauter mes chevaux à la maison. Je passe davantage de temps en forêt, dans les bois. Je suis en carrière peut-être deux ou trois fois par semaine, pour entretenir leur forme physique, mais, le reste du temps, je les fais travailler en extérieur”, développe le pilote. “J’essaye vraiment d’ajouter le sport à leur vie de cheval, et non l’inverse. Je ne veux pas que leur existence se résume à une carrière sportive. Je ne suis pas le meilleur cavalier, je n’ai pas tant de connaissances que cela et je dois encore apprendre beaucoup, mais je pense que l’une de mes plus grandes qualités est que je comprends mes chevaux et que je les respecte en tant que tels. Ce ne sont pas des machines, ni des athlètes. Il ne s’agit pas simplement d’être gentil avec eux, mais de les garder en bonne santé, heureux et sains. Mes chevaux sont contents et motivés ; ils ne détestent pas leur travail. Alors, quand je saute un parcours en concours, ils sont dans un super état d’esprit. Ils se battent pour moi et je le ressens. C’est quelque chose d’incroyable.” Particulièrement intransigeant avec lui-même, Fernando ne cesse de chercher à s’améliorer. Le Mexicain estime qu’il a encore des progrès à faire, au niveau de sa position et de son équilibre, qu’il cherche à perfectionner grâce à un travail rigoureux sur le plat. “J’ai toujours monté au feeling, ce qui ne suffit plus à ce niveau. J’ai encore beaucoup à apprendre, et je crois que l’on n’arrête jamais de le faire”, glisse l’ jeune et encore peu expérimentée Lady en action. © SportfotÀ n’en pas douter, Fernando Martinez Sommer est épanoui dans sa vie et compte bien prolonger le rêve éveillé qu’il vit depuis une poignée d’années. Sa volonté et son abnégation n’ont sans doute que d’égal sa passion sans limite. Demandez-lui ce qu’il apprécie faire de son temps libre, il vous répondra qu’il adore se balader dans les bois… avec ses chevaux. “Une des choses que j’aime le plus, c’est me promener l’après-midi, mais pas pour le travail. J’éprouve beaucoup de plaisir à simplement marcher dans les environs avec mon cheval, à cru, sans selle. Je le fais souvent”, précise celui qui rêve d’un jour fouler la mythique piste d’Aix-la-Chapelle. “Je fais aussi du vélo. Je cherchais une activité à faire entre les compétitions pour me vider la tête, alors j’ai acheté un vélo et j’ai commencé à en faire un peu. J’étais à Grimaud, pour un concours. Le lundi, j’ai rejoint Cannes à vélo. On se promène le long de la côte, profite d’un bon repas, etc. Je pratique aussi cette activité avec ma femme. J’aime aussi passer du temps à la maison. Nous avons deux chiens que nous adorons et ne disons pas non à prendre une pause de nos emplois du temps bien remplis. Quand nous avons une après-midi de libre, nous regardons un film ou passons un moment plus calme. Notre métier est davantage une passion. Je ne vois pas cela comme un travail et j’aime ce que je fais et je suis très chanceux, mais cela nous occupe vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept. D’autant plus depuis que nous avons notre propre écurie ! Il y a toujours quelque chose à faire quelque part. Je suis d'ailleurs devenu un super bricoleur rires.” Bref, il faudra garder un œil sur ce cavalier, qui n’est pas loin d’une très grande et Cor Bakker aux JEM de Tryon. © SportfotPhoto à la Une Fernando Martinez Sommer et le prometteur High Five à Chantilly, en 2021. © Mélina Massias

Touspour la vie, Courir pour Curie . A= A-A+; More Sharing Services. Tous pour la vie, Courir pour Curie > Retour à la liste Solidarité & action sociale, Sport 01 septembre 2017. Tous pour la vie organise la 27ème édition de 33h contre le cancer à Janzé du 29 septembre au 1er octobre Tous pour la vie de Janzé organise un week-end complet d'animations en faveur de

Error 403 Guru Meditation XID 1069686537 Varnish cache server LAssociation COURIR POUR LA VIE COURIR POUR CURIE est implantée à Confolens (AV DU 8 MAI 1945) dans le département de Charente. Cette association loi 1901 ou assimilé fondée C'est l'événement de l'année à Janzé 35. Courir pour Curie, 30 communes participent pendant 3 jours à des défis sportifs. Objectif soutenir la lutte contre le cancer Ils viennent d'Amanlis, de Domloup ou Châteaugiron et ont participé ce week-end au la 28ème édition de Courir pour la vie-Courir pour Curie. Pendant trois jours, ils courent, marchent, jouent pour récolter de l'argent. En presque 30 ans, 7000 000 euros ont été récoltés et reversés à l'Institut Curie et au centre Eugène Marquis de Rennes. Ce we, près de 40 000 euros ont été collectés. 300 bénévoles se mobilisent pour porter l'événement. Ensemble contre le cancer à Janzé
ÉquipeCourir Pour La Vie Courir Pour Curie - La France en Courant 2019. 238 likes. Depuis 1989, l'association « Courir pour la vie, Courir pour Curie » a mobilisé 3000 communes, soit

PLANS +Exigez le Meilleur pour vos chronos ! Cookies fonctionnels Ce site utilise des cookies pour assurer son bon fonctionnement et ne peuvent pas être désactivés de nos systèmes. Nous ne les utilisons pas à des fins publicitaires. Si ces cookies sont bloqués, certaines parties du site ne pourront pas fonctionner. Contenus interactifs Ce site utilise des composants tiers, tels que NotAllowedScript63048543aba61ReCAPTCHA qui peuvent déposer des cookies sur votre machine. Si vous décider de bloquer un composant, le contenu ne s’affichera pas reCaptcha V3 Réseaux sociaux/Vidéos Des plug-ins de réseaux sociaux et de vidéos, qui exploitent des cookies, sont présents sur ce site web. Ils permettent d’améliorer la convivialité et la promotion du site grâce à différentes interactions sociales. Facebook Twitter Instagram YouTube Session Veuillez vous connecter pour voir vos activités! Autres cookies Ce site web utilise un certain nombre de cookies pour gérer, par exemple, les sessions utilisateurs.

Luttezcontre le cancer en misant sur le flower power. Offrez des jonquilles, symboles d’espoir lorsqu’elles ouvrent le bal des fleurs après les rigueurs de l’hiver ! Dans les jardineries Truffaut, sur chaque bouquet de jonquilles, 1 € est reversé à l’Institut Curie. Vous pouvez aussi vous faire cadeau d’un sac Antik Batik à 3

Publié le 17 septembre 2019 à 11h37 Les mêmes coureurs qui en 2016 avaient pris la route de Vence Alpes-Maritimes prendront samedi le départ pour Ferdrupt Vosges sur le chemin de la solidarité. Les adhérents du collectif Courir pour la vie » ne sont pas à un exploit près ! Le samedi 21, cinq d’entre eux se lanceront dans un nouveau défi de 1 100 km, afin de sensibiliser la population française au don du sang et d’ Dubois, Gérard Habasque, Pierre-Yves Le Gall, Noël Le Hir, Louis Roudaut et Jean-Luc Simon, six ultramarathoniens, vont prendre le départ samedi à 18 h de Cléder pour un nouveau périple ralliant Cléder à Ferdrupt, un petit village vosgien de 720 tout le parcours et leurs nombreuses étapes, ces six coureurs sensibiliseront les Français, du Finistère jusque dans les Vosges, sur l’importance du don du sang et d’organes. Ils seront accompagnés d’Hélène Le Gall, Annie Le Hir, Mireille Mazé et Dominique sur la solidaritéLors de ces 1 100 km, chaque coureur couvrira 180 km par relais de 20 km. Ils se reposeront dans trois camping-cars. Ces derniers transporteront également toute une logistique dont 288 repas et les ravitaillements des coureurs en boissons énergétiques, cap sur la 2016, ils avaient réalisé un exploit similaire en ralliant Cléder à Vence, dans les Alpes-Maritimes. Ils avaient obtenu un très fort nombre de promesses de ces coureurs de l’extrême donnent rendez-vous, dès 17 h, place de la Marie, à ceux qui le souhaitent pour un au revoir chaleureux et quelques encouragements.
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