Annuairedes marques de mode Ă©thique : des vĂȘtements, sacs et chaussures Ă©cologiques, Ă©quitables, bref, responsables! - Eloge de la curiositĂ©. Parce-que toi aussi, tu as conscience des innombrables mĂ©faits de la fast-fashion, tu as dĂ©cidĂ© de t’orienter vers une mode Ă©thique et Ă©cologique, plus respectueuse de l’environnement, des animaux et des humains. Bravo et Cet article date de plus de neuf ans. Suite Ă  l'effondrement d'un bĂątiment au Bangladesh qui a coĂ»tĂ© la vie Ă  plus de 1100 employĂ©s, des gĂ©ants de l'habillement ont signĂ© un accord sur la sĂ©curitĂ© des usines au Bangladesh. Mais les conditions de travail des ouvriers du textile ne sont pas forcĂ©ment meilleures ailleurs. Les consommateurs ont le pouvoir de faire Ă©voluer la situation. Article rĂ©digĂ© par PubliĂ© le 17/05/2013 0850 Mis Ă  jour le 09/05/2014 2331 Temps de lecture 1 min. OĂč et dans quelles conditions sont fabriquĂ©s les vĂȘtements que nous portons ? Chine, Inde, Cambodge, Bangladesh, la lecture des Ă©tiquettes pourrait ressembler Ă  une invitation au voyage... un voyage dans l'enfer d'ateliers insalubres. Au Cambodge, les femmes sont si peu payĂ©es qu'elles ne peuvent pas se nourrir correctement, et perdent rĂ©guliĂšrement connaissance sur leur lieu de travail. Au Bangladesh, dans des centaines d'usines, les ouvriers du textile, pour rĂ©pondre Ă  la demande, peuvent travailler jusqu'Ă  90 heures par semaine, pour des salaires de misĂšre. Depuis prĂšs de 20 ans, le Collectif Éthique sur l'Ă©tiquette se bat pour que les droits de ses travailleurs soient respectĂ©s, et pour qu'ils soient rĂ©munĂ©rĂ©s dĂ©cemment. Le Collectif Éthique sur l'Ă©tiquette rassemble une vingtaine d'associations et de mouvements de consommateurs . Il appartient est la branche du rĂ©seau europĂ©en Clean Clothes Campaign. Suite a l'effondrement d'un bĂątiment au Bangladesh qui a coĂ»tĂ© la vie Ă  des centaines d'ouvriers du textile, et suite Ă  la signature d'une pĂ©tition par plus d'un million de consommateurs Ă  travers le monde, la plupart des grandes marques internationales de l'habillement se sont engagĂ©es en faveur de la sĂ©curisation des usines. En France Carrefour est la premiĂšre marque Ă  avoir signĂ© cet accord. Venezassister en chair et en os Ă  notre soirĂ©e sur l'avenir de la mode, en partenariat avec l'Institut Français de la Mode. Notre chroniqueuse Sophie Fontanel imaginera 5 scĂ©narios du futur. Nous dĂ©battrons pour savoir si la "fast fashion" peut devenir Ă©thique. Des crĂ©ateurs de start-up viendront nous expliquer comment ils comptent bousculer le secteur SoirĂ©e organisĂ©e en
0,6 centimes dĂ©volus au salaire des ouvriers de la confection pour la fabrication du maillot de l’équipe d’Allemagne vendu 85 euros, pour un bĂ©nĂ©fice net de 24,3 euros pour Adidas ;Un doublement des dividendes pour Nike depuis 2010 et un doublement de ses ventes en 10 ans ;Une augmentation de l’investissement dans le sponsoring qui aurait permis Ă  plus de 165 000 travailleurs vietnamiens et 110 000 travailleurs indonĂ©siens de recevoir un salaire vital ;Un modĂšle target costing » d’optimisation des coĂ»ts de production poussĂ© Ă  outrance qui confine les salaires des ouvriers Ă  une simple variable d’ajustement ;Un dĂ©sinvestissement progressif de la Chine, dont les salaires minimum rejoignent dĂ©sormais des niveaux dĂ©cents, vers des pays offrant une main d’Ɠuvre bradĂ©e, malgrĂ© des performances Ă©conomiques sont quelques-uns des principaux enseignements du rapport Anti-jeu » commanditĂ© par le Collectif Ethique sur l’étiquette, qui analyse l’impact, pour les travailleurs de leurs chaĂźnes d’approvisionnement, du modĂšle Ă©conomique des 3 principaux sponsors des Ă©quipes de l’Euro 2016 – Nike, Adidas, Puma...RĂ©sultat, les travailleurs de leurs chaĂźnes d’approvisionnement, situĂ©s principalement en Asie, touchent des salaires en deçà du minimum nĂ©cessaire pour vivre dĂ©cemment – en deçà d’un salaire vital. En contradiction avec le discours affichĂ© de ces sponsors, qui se positionnent, Ă  force dĂ©clarations publiques, comme des acteurs plus responsables que les autres marques du secteur. Chronologie RĂ©ponse de Nike Date 14 Jui 2016 Type de contenu RĂ©ponse de l'entreprise RĂ©ponse de Puma Date 7 Jui 2016 Type de contenu RĂ©ponse de l'entreprise RĂ©ponse d'adidas Date 7 Jui 2016 Type de contenu RĂ©ponse de l'entreprise Euro 2016 quand Nike et Adidas fuient leur responsabilitĂ© sociale » pour payer des salaires toujours plus bas Date 6 Jui 2016 Type de contenu Article Anti-jeu – les sponsors laissent les travailleurs sur la touche Date 1 Jui 2016 Type de contenu Rapport Le Collectif Ethique sur l’étiquette lance la campagne Anti-jeu » Et un rapport sur les impacts sociaux du modĂšle Ă©conomique de Nike, Adidas et Puma Date 1 Jui 2016 Type de contenu Article Voir la chronologie complĂšte Charger plus Voir moins
Lecollectif De l’éthique sur l’étiquette, qui cherche depuis de longues annĂ©es Ă  promouvoir le respect des droits de l’homme au travail dans le monde, a subi fin 2005 un gros coup dur : il n’a pas Ă©tĂ© retenu sur plusieurs appels d’offres lancĂ©s par la Commission europĂ©enne, qui Ă©tait jusque-lĂ  l’un des principaux soutiens financiers de ses actions. Son but est, comme le Collectif national dont il dĂ©pend, de dĂ©fendre les droits des travailleurs. En effet, ces derniers sont trop souvent exploitĂ©s par les multinationales qui ne respectent pas le droit international du travail. Celui-ci est fondĂ© sur les principes de la DĂ©claration Universelle des droits de l’Homme et plus prĂ©cisĂ©ment sur les 8 conventions essentielles de l’OIT. En CorrĂšze, le collectif a Ă©tĂ© créé en 2001, annĂ©e d’élections municipales, lors de la campagne Achats publics, achats Ă©thiques ».Nos tĂąches principales sont d’informer par divers moyens et de faire signer des pĂ©titions qui appuient des luttes mondiales, non violentes, de travailleurs. Par exemple les luttes pour un salaire vital en Asie, pour soutenir les ouvriers du Bangladesh et leurs familles aprĂšs la catastrophe du Rana Plaza, pour la loi sur le devoir de vigilance en France. Nous faisons connaĂźtre les campagnes en cours par internet mais aussi en faisant de la sensibilisation citoyenne sur le terrain et en Ă©tant relayĂ©s par la presse locale, en participant Ă  des Ă©vĂ©nements publics comme le Forum des associations, la Semaine de la solidaritĂ© internationale, et Ă  des journĂ©es festives, en organisant des soirĂ©es projection et dĂ©bats etc. Actuellement notre collectif comprend le CCFD Terre-Solidaire, CorrĂšze-Environnement, l’UFOLEP, l’Union dĂ©partementale des retraitĂ©s CFDT. D’autres associations nous soutiennent. Nous avons besoin de plus de forces. Rejoignez-nous ! Contact Gilberte Catalifaud mail
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tracked by us since November, 2017. Over the time it has been ranked as high as 1 809 319 in the world. It was owned by several entities, from Nayla Ajaltouni of Collectif Ethique sur l'etiquette to REDACTED FOR PRIVACY of Collectif Ethique sur l'Ă©tiquette, it was hosted by OVH SAS.. Ethique-sur-etiquette has the lowest Google pagerank and bad L’activitĂ© mandataire judiciaire Ă  la protection des majeurs » MJPM n’est pas une activitĂ© professionnelle comme les autres. Les professionnels exercent leur mission sur la base d’un mandat judiciaire auprĂšs de personnes connaissant un certain nombre de vulnĂ©rabilitĂ©s. Cette particularitĂ© des personnes protĂ©gĂ©es est aussi la raison pour laquelle une rĂ©flexion sur l’éthique de la profession est apparue essentielle. La parution de ce guide intitulĂ© RepĂšres pour une rĂ©flexion Ă©thique des mandataires judiciaires Ă  la protection des majeurs , en atteste. Afin de prĂ©venir et d’agir, le dispositif gĂ©nĂ©ral d’accompagnement et de protection des plus vulnĂ©rables peut et doit certainement s’appuyer sur le mandataire judiciaire Ă  la protection des majeurs. Selon Anne Caron-Deglise, Avocate GĂ©nĂ©rale prĂšs la Cour de Cassation, et Sylvain Bottineau, Sous-Directeur de l’enfance et de la famille Direction gĂ©nĂ©rale de la cohĂ©sion sociale, qui introduisent ce guide, la reconnaissance et l’organisation de ces professionnels si essentiels n’ont jamais encore Ă©tĂ© complĂštement actĂ©es. DĂ©pendants Ă©troitement des autoritĂ©s judiciaires et administratives, qui les mandatent et les contrĂŽlent pour les premiĂšres, qui les habilitent, les contrĂŽlent et contribuent Ă  leur financement pour les secondes, mais aussi pris en tenaille entre l’obligation de soutenir les choix de la personne et les interpellations quasi-incessantes des familles ou des partenaires inquiets et souvent dĂ©mobilisĂ©s ou en retrait, les mandataires judiciaires Ă  la protection des majeurs MJPM demeurent des acteurs dont la place exacte est mĂ©connue . Les mandataires sont investis d’un pouvoir important, vis-Ă -vis duquel la fragilitĂ© de la personne protĂ©gĂ©e peut ĂȘtre grande. C’est pourquoi il est important qu’ils dĂ©veloppent une conscience Ă©thique, qu’ils sont conscients de leur responsabilitĂ© morale, et qu’ils rĂ©flĂ©chissent par eux-mĂȘmes et en groupe sur cette question ». Ce que le Guide dit sur les MJPM... "TrĂšs jeune mĂ©tier "de l'engagement permanent et du risque", il n’a pas encore atteint sa majoritĂ© mais il bouillonne d’idĂ©es trĂšs pragmatiques et construit pas Ă  pas sa spĂ©cificitĂ© dans un environnement complexe. MĂ©tier de la responsabilitĂ© professionnelle, personnelle, morale, le mĂ©tier de mandataire judiciaire Ă  la protection des majeurs MJPM s’insĂšre dans une multitude d’autres interventions professionnelles, bĂ©nĂ©voles, familiales, amicales ..., dont personne ne coordonne rĂ©ellement l’action, les comptes Ă©tant demandĂ©s Ă  posteriori. C’est donc un mĂ©tier de l’engagement permanent et du risque. MĂ©tier de la relation, construit sur des fondamentaux techniques nĂ©cessairement robustes, ils ne sont pas rĂ©ductibles au seul champ social ou au seul champ juridique ou de la gestion patrimoniale. Ils sont tout cela en mĂȘme temps et sont investis de leur mission d’assistance ou de reprĂ©sentation des personnes dont les altĂ©rations ont Ă©tĂ© constatĂ©es mĂ©dicalement par le mandat judiciaire". Les quatre activitĂ©s clĂ©s du mandataire ‱ Informer Communiquer Dialoguer ‱ Évaluer Analyser ApprĂ©cier ‱ Assister ReprĂ©senter ‱ Rendre compte Saisir Alerter Alors, dans le cadre quotidien de leur mandat, les MJPM sont confrontĂ©s trĂšs rĂ©guliĂšrement Ă  des conflits de normes, de valeurs, mais aussi d’objectifs et de prioritĂ©s qui gĂ©nĂšrent de vrais cas de conscience face Ă  des injonctions paradoxales et Ă  des situations de risques. Dans ce contexte, ce Guide est destinĂ© Ă  fournir des repĂšres mĂ©thodologiques pour mener une rĂ©flexion Ă©thique sur les pratiques professionnelles, prenant en compte les nombreux travaux dĂ©jĂ  conduits par les acteurs eux-mĂȘmes depuis des annĂ©es dans un objectif d’accroĂźtre la compĂ©tence comme lesrĂ©flexes Ă©thiques individuels et collectifs. Mais aussi de partage des expĂ©riences et de construction de rĂ©seaux d’actions concrĂštes. Au-delĂ , c’est la diffusion d’une culture du questionnement Ă©thique dans la profession, chez les partenaires, dans les familles et dans la sociĂ©tĂ© tout entiĂšre qui doit ĂȘtre encouragĂ©e pour renforcer toujours la rĂ©elle considĂ©ration des personnes protĂ©gĂ©es favorisant l’expression de leur parole et le respect qui leur est dĂ». Pour que la protection ne devienne pas une pure gestion. L’objet de ces travaux – interministĂ©riels justice et santĂ© et pluridisciplinaires – est d’élaborer un outil national de rĂ©flexion sur l’éthique Ă  destination des mandataires judiciaires Ă  la protection des majeurs, qui met en exergue les valeurs dĂ©gagĂ©es par les activitĂ©s clĂ©s et la posture Ă©thique. La rĂ©flexion s’est dĂ©veloppĂ©e sur la base d’une dĂ©finition des activitĂ©s clĂ©s Ă©laborĂ©e par le groupe ». TĂ©lĂ©charger le guide RepĂšres pour une rĂ©flexion Ă©thique des mandataires judiciaires Ă  la protection des majeurs
CrĂ©een 1995 Ă  l’initiative d’Artisans du Monde, le collectif » de l’éthique sur l’étiquette » regroupe aujourd’hui une cinquantaine de membres. Par des actions de sensibilisation et d’information, il vise Ă  responsabiliser les consommateurs, les entreprises et les pouvoirs publics Ă  la qualitĂ© sociale des produits commercialisĂ©s par la grande distribution. ParallĂšlement
H&M, Nike ou encore Burberry subissent une campagne de boycott en Chine pour avoir publiĂ© en 2020 des communiquĂ©s contre l’utilisation du coton cultivĂ© dans la province du Xinjiang, oĂč des allĂ©gations de travail forcĂ© des OuĂŻghours existent. Le mouvement a Ă©tĂ© lancĂ© aprĂšs l'imposition lundi par l'Union europĂ©enne, le Royaume-Uni, les États-Unis et le Canada de sanctions contre PĂ©kin sur le traitement des OuĂŻghours. Difficile de penser que la coĂŻncidence soit due au hasard. Quelques jours aprĂšs l'annonce, lundi, de sanctions visant la Chine par l'Union europĂ©enne UE, le Royaume-Uni, les États-Unis et le Canada, une campagne de boycott contre de marques d'habillement comme H&M, Nike ou encore Burberry prend de l'ampleur en que PĂ©kin a rĂ©pliquĂ© aux pĂ©nalitĂ©s en sanctionnant dix personnalitĂ©s europĂ©ennes et a Ă©tendu vendredi ses sanctions Ă  neuf Britanniques ainsi que quatre entitĂ©s, les dĂ©clarations de grandes marques d'habillement sur le travail forcĂ©s des OuĂŻghours dans les champs de coton du Xianjiang sont opportunĂ©ment 2020, le SuĂ©dois H&M, l'AmĂ©ricain Nike, l'Allemand Adidas ou encore le Japonais Uniqlo avaient publiĂ© des communiquĂ©s dans lesquels ils s'engageaient Ă  ne plus utiliser de coton issu des cultures de la province chinoise du Xinjiang aprĂšs la publication de plusieurs Ă©tudes faisant Ă©tat de travail forcĂ© des Ouighours dans les champs de population, principalement musulmane et parlant une langue turcique, reprĂ©sente un peu moins de la moitiĂ© des 25 millions d'habitants du Xinjiang. Selon des Ă©tudes publiĂ©es par des instituts amĂ©ricains et australiens, au moins 1 million d'entre eux ont Ă©tĂ© internĂ©s dans des "camps" et certains soumis Ă  du "travail forcĂ©"."Vous rĂȘvez !"Mercredi, les articles H&M ont Ă©tĂ© retirĂ©s des principaux sites de ventes en ligne chinois – Alibaba, et Pinduoduo. Les boutiques de l'enseigne sont nĂ©anmoins restĂ©es polĂ©mique s'est propagĂ©e sur les rĂ©seaux sociaux, oĂč les prises de position contre les marques en question se sont multipliĂ©es aprĂšs les dĂ©clarations de la Ligue de la jeunesse communiste, une organisation affiliĂ©e au parti au pouvoir. "Diffuser des rumeurs et boycotter le coton du Xinjiang, tout en espĂ©rant gagner de l'argent en Chine ? Vous rĂȘvez !", avait-elle Ă©crit, laissant entrevoir le signe d'une possible intervention de l'exĂ©cutif dans la campagne de l'annonce par plusieurs acteurs et chanteurs chinois qu'ils coupaient tout lien avec Nike, Adidas, Uniqlo, Converse ou encore Calvin Klein, dont ils ou elles Ă©taient les ambassadeurs d'image, a accentuĂ© le mouvement de boycott."Les intĂ©rĂȘts du pays passent avant tout", a indiquĂ© l'actrice Tan Songyun pour mettre fin Ă  son partenariat avec Nike, se disant "fermement opposĂ©e Ă  toutes les actions malveillantes visant Ă  salir [la Chine]".Selon le correspondant du Monde, Simon LeplĂątre, "jeudi, sur les rĂ©seaux sociaux chinois, certains se [sont] film[Ă©s] mettant le feu Ă  leur collection de baskets Nike"."Aucune position politique"Soucieuse d'Ă©teindre l'incendie, la marque amĂ©ricaine Nike a dĂ©clarĂ© dĂšs mercredi que l'entreprise n'endossait "aucune position politique". Quant au communiquĂ© du groupe suĂ©dois H&M datant de 2020, il n'Ă©tait plus visible jeudi sur le site Internet du groupe – signe d'un possible marques visĂ©es ont reçu plusieurs soutiens politiques internationaux. Le Premier ministre suĂ©dois Stefan Löfven a notamment dĂ©fendu vendredi la marque suĂ©doise H&M. "Je pense que c'est trĂšs bien quand les entreprises prennent leurs responsabilitĂ©s sur les conditions de travail des salariĂ©s partout dans le monde, que les salariĂ©s soient traitĂ©s avec respect", a-t-il dĂ©clarĂ© lors d'une confĂ©rence de États-Unis ont Ă©galement condamnĂ© la "campagne" de "boycott" orchestrĂ©e par la Chine. "Nous saluons et nous soutenons les entreprises qui adhĂšrent aux lois amĂ©ricaines et garantissent que les biens que nous consommons ne sont pas produits grĂące au travail forcĂ©", a dĂ©clarĂ© Ă  la presse une porte-parole de la diplomatie amĂ©ricaine, Jalina boycott pourrait s'Ă©tendre dans les prochains jours Ă  d'autres marques ayant pris position sur les cultures de coton au Xinjiang. Les noms de Zara, Gap, New Balance ou encore Fila circulaient sur le rĂ©seau social chinois Weibo jeudi."RĂ©affirmer l'opposition Ă  toute forme de travail forcĂ©"Le collectif Éthique sur l'Ă©tiquette a publiĂ© vendredi une sĂ©rie de messages sur Twitter appelant les marques d'habillement Ă  "rĂ©affirmer leur opposition Ă  toute forme de travail forcĂ©, notamment des OuĂŻghours". Le collectif craint que des marques d'habillement ne retirent leur affirmation sur le coton du Xinjiang face Ă  la crainte de ne plus avoir accĂšs au marchĂ© chinois. Jeudi sur Weibo, la marque allemande de vĂȘtements de luxe Hugo Boss n'a pas hĂ©sitĂ© Ă  affirmer qu'elle continuerait Ă  "acheter et soutenir le coton du Xinjiang". Dans un communiquĂ© publiĂ© sur son site, la marque affirme pourtant son opposition Ă  utiliser du coton de cette province du nord-ouest. InterrogĂ©e par l'agence Hong Kong free press, la marque allemande a assurĂ© n'avoir jamais utilisĂ© de matiĂšre premiĂšre "provenant directement de la province du Xinjiang".QuestionnĂ©e sur le double discours destinĂ© aux consommateurs chinois d'une part et occidentaux d'autre part, la marque ne s'est pas AFP Laconsommation en question : Le collectif de l'Ă©thique sur l'Ă©tiquette cible le jouet" Exploiter n'est pas jouer. " C'est ainsi que le Des ressources pour l'Ă©valuation Des repĂšres pour l'action Click’Études Accueil » Erreur 404 Page non trouvĂ©eErreur 404 - page introuvableVous ĂȘtes ici Accueil / Erreur 404 Aucune page ne correspond Ă  votre recherche DĂ©solĂ©, l'article que vous recherchez est introuvable. Veuillez utiliser la fonction Rechercher » dans l'entĂȘte du site. RĂ©uniondu Collectif Éthique sur l’étiquetteLe projet de loi sur le devoir de vigilance des multinationales. Pour qui ? Pourquoi ? Avec Nayla Le collectif, au niveau national, rassemble de nombreuses organisations telles que Oxfam, Artisans du monde, Action Aid, ainsi que la CFDT. La structure est Ă©galement prĂ©sente Ă  l’échelle locale oĂč elle regroupe les mĂȘmes acteurs ainsi que Colecosol ; un collectif promouvant le commerce Ă©quitable. Les nombreuses actions menĂ©es ont permis l’adoption de la loi relative au devoir de vigilance des entreprises en 2017. L’objectif est affirmĂ© interpeller les dirigeants pour faire bouger les lignes et agir concrĂštement afin que les droits humains soient respectĂ©s, qui plus est dans un contexte oĂč la pandĂ©mie de Covid-19 fait des ravages. Crise du Covid 19 et catalyseur des Ă©carts sociaux En effet, la situation s’avĂšre dramatique pour de nombreuxses travailleurses puisque ces derniers ont subi une perte d’activitĂ© consĂ©quente, et ce dĂšs le printemps 2020. Effet secondaire de la crise ; 10% d’ouvrierres se sont retrouvĂ©s sans emploi, sans indemnitĂ©s, et sans protection sociale. Il est assez aisĂ© d’en dĂ©duire que la prĂ©caritĂ© accrue a dĂ©bouchĂ© sur des situations dramatiques du point de vue Ă©conomique et sanitaire. Effectivement, les travailleurses se sont retrouvĂ©s face Ă  un choix cornĂ©lien travailler et risquer de contracter le Covid 19 ou rester confinĂ©s et perdre une source de revenus. Cette situation est d’autant plus ubuesque que l’on a pu observer les profits records d’enseignes telles que Nike +11% reversĂ©s en dividendes et Amazon 200% de ses bĂ©nĂ©fices soit 21,3 milliards de dollars. Ces Ă©carts considĂ©rables posent Ă  nouveau la question de la redistribution des richesses. Comment agir concrĂštement pour obtenir plus de justice sociale? Pay your workers DĂšs novembre 2020, les 40 pays membres d’une organisation de dĂ©fense des droits humains se sont rassemblĂ©s pour crĂ©er la coalition Pay your Workers et lancer la campagne de mobilisation du mĂȘme nom. L’objectif est simple tirer la sonnette d’alarme sur les conditions de travail afin que les droits des travailleurses soient davantage respectĂ©s. À ce jour, il est encore possible de signer la pĂ©tition en ligne. Localement, le collectif s’est mobilisĂ© en allant Ă  la rencontre du consommateur afin d’informer et sensibiliser sur la problĂ©matique du textile Ă©thique. Le constat est simple, derriĂšre chaque vĂȘtement se cache un travailleur prĂ©caire. Les alternatives Par ailleurs, la mobilisation a Ă©galement permit de mettre en lumiĂšre les alternatives existantes. En effet, des enseignes engagĂ©es dans la transition Ă©cologique telles qu’Artisan du monde ou VethĂ©tic proposent un ensemble de produits produits compatibles avec le respect des droits humains et de la planĂšte. Nos choix en terme de consommation consommer moins et mieux ont autant d’impact qu’un bulletin de vote, Ɠuvrons pour plus d’éthique derriĂšre l’étiquette. Pour aller plus loin LĂ©gislation Loi n° 2017-399 relative au devoir de vigilance des sociĂ©tĂ©s mĂšres et des entreprises donneuses Les acteurs ouvre un nouvel onglet Lecollectif "De l’éthique sur l’étiquette" regroupe 53 organisations qui agissent en faveur d’une consommation Ă©thique. Il rĂ©unit des organisations de solidaritĂ© inter-nationale, associations de consommateurs, syndicats Il est membre du rĂ©seau europĂ©en Clean Clothes Campaign, prĂ©sent dans 12 pays et travaille en relation avec des associations et des syndicats prĂ©sents sur Accueil > Mobilisez-vous > Comment agir ? > Chacun Ă  son niveau Les campagnes passĂ©es ont prouvĂ© que la mobilisation citoyenne permet d’obtenir des progrĂšs significatifs en matiĂšre de respect des droits humains par des entreprises. Vous aussi, vous pouvez agir Ă  votre niveau. S’informerLes marques et distributeurs manquent souvent de transparence sur l’origine et les conditions dans lesquelles ont Ă©tĂ© Ă©laborĂ©s les produits qu’ils commercialisent. Mais les modes de consommation changent et les citoyens sont de plus en plus vigilants ... S’impliquerAu quotidien, agissez avec le Collectif Éthique sur l’étiquette et faites connaitre ses actions parlez-en autour de vous et participez aux campagnes en signant les pĂ©titions, en relayant les appels urgents, en envoyant les courriers adressĂ©s aux ... Consommer autrementSoldes, offres spĂ©ciales, nouveaux modĂšles constants, campagnes publicitaires grandioses les multinationales de l’habillement dĂ©ploient de nombreux moyens pour nous pousser Ă  consommer toujours plus. La fast fashion a fait de la mode jetable le ...
Pourla premiĂšre fois Regards d’Africains de France assiste Ă  une manifestation organisĂ©e le mercredi 28 juin 2017 devant le mĂ©tro Capitole de Toulouse (ligne A) par le Collectif Ethique sur l’Étiquette. Les manifestants n’étaient certainement pas nombreux, mais leur message semble bien passĂ© auprĂšs du public. Le Collectif
Pour privilĂ©gier les produits de bonne qualitĂ© sociale, un collectif s’est créé en se fixant un certain nombre d’objectifs qui recoupent des questions d’éducation. Une campagne nationale d’action a Ă©tĂ© mise en place..Depuis plusieurs annĂ©es des campagnes nationales telles LibĂšre tes fringues, Soyez sport, et Commerce Ă©quitable ont Ă©tĂ© lancĂ©es Ă  l’initiative d’Artisans du monde et d’Agir ici. Elles ont pour objectif de sensibiliser les consommateurs sur la question de la qualitĂ© sociale » des produits qu’ils achĂštent. Un collectif s’est créé*. Les CemĂ©a ont dĂ©cidĂ© d’en faire partie parce qu’en tant que mouvement d’éducation cet enjeu de sociĂ©tĂ© traverse leur champ de pratiques et d’actions. Éducation contre le racisme, droits des enfants, Ă©thique sur l’étiquette autant de questions de sociĂ©tĂ© qui ouvrent au regard du projet des CemĂ©a, d’éducation populaire et de formation d’acteurs bĂ©nĂ©voles volontaires ou professionnels, un vaste chantier pĂ©dagogique et citoyen. Exploitation d’enfants, salaires dĂ©risoires, heures supplĂ©mentaires obligatoires et non rĂ©munĂ©rĂ©es, rĂ©pression antisyndicale Ă  l’encontre d’ouvriers dont le seul tort est de demander des conditions de travail dĂ©centes... Dans le monde entier, les centaines de milliers de personnes qui produisent les vĂȘtements, les chaussures de sport ou les ballons de football que nous achetons, travaillent trop souvent dans des conditions inacceptables. Des conditions de production inacceptables Pourtant, il existe des rĂšgles dĂ©finies par l’Organisation internationale du travail OIT, interdisant le travail forcĂ©, l’exploitation des enfants, le non respect de la libertĂ© syndicale, la discrimination entre individus d’origine, de religion ou de sexe diffĂ©rents... Dans le monde, de nombreux pays se sont engagĂ©s Ă  respecter ces principes fondamentaux, mais l’écart entre les dĂ©clarations et la rĂ©alitĂ© reste Ă©norme. C’est pourquoi, nous pouvons ĂȘtre amenĂ©s Ă  acheter des vĂȘtements et des chaussures de sport fabriquĂ©s dans des conditions inadmissibles. En effet, actuellement les consommateurs ne disposent d’aucune garantie leur permettant de privilĂ©gier les produits de bonne qualitĂ© sociale ». Un objectif la crĂ©ation d’un label social... Face Ă  cette situation, le collectif De l’éthique sur l’étiquette » s’est fixĂ© les objectifs suivants Faire adopter, par plusieurs chaĂźnes de distribution et fabricants, le code de conduite Ă©laborĂ© par le collectif. En adoptant ce code de conduite, les entreprises doivent s’engager, auprĂšs de leurs clients, Ă  respecter et promouvoir les droits de l’homme au travail absence d’exploitation d’enfants, interdiction de l’esclavage, respect de la libertĂ© syndicale, salaires dĂ©cents.... Ces entreprises doivent Ă©galement accepter qu’un organisme indĂ©pendant et transparent contrĂŽle le respect du code de conduite. Lorsque les violations sont constatĂ©es chez un fournisseur, celles-ci devront cesser dans un dĂ©lai prĂ©cis. Si elles persistent une fois passĂ© ce dĂ©lai, le distributeur devra arrĂȘter toute relation commerciale avec ce fournisseur. Ceci constitue un premier pas vers la crĂ©ation d’un label social qui permettra aux distributeurs de mettre de l’éthique sur l’étiquette. Avec ce label, les consommateurs disposeront d’une garantie de bonne qualitĂ© sociale ». DĂ©but 1997, le VIIIe baromĂštre de la solidaritĂ© du CCFD indiquait que 72 % des Français accepteraient d’acheter un peu plus cher des marchandises d’importation produites dans des conditions sociales satisfaisantes. Des rĂ©sultats encourageants Depuis deux ans, la participation croissante aux campagnes LibĂšre tes fringues ! et Soyez sport ! 1995-1996, qui ont fusionnĂ© fin 96 pour prendre le nom de campagne De l’éthique sur l’étiquette, confirme l’importance que les consommateurs accordent Ă  la qualitĂ© sociale » des produits qu’ils achĂštent. En 1998, plus de 130000 personnes ont signĂ© la pĂ©tition nationale, contre 80000 et 20000 les annĂ©es prĂ©cĂ©dentes. Cette mobilisation a conduit certaines entreprises et organisations patronales Ă  ouvrir un dialogue avec le collectif De l’éthique sur l’étiquette » adoption d’un code de conduite par Auchan qui accepte d’expĂ©rimenter un systĂšme de contrĂŽle indĂ©pendant Ă  partir de 1998, nĂ©gociations avancĂ©es avec Carrefour et CamaĂŻeu, ouverture de discussions avec le Conseil national du commerce auquel a Ă©tĂ© remise la pĂ©tition, en juin 1997, reprise de contact avec DĂ©cathlon, qui travaille Ă  l’élaboration d’une charte sociale destinĂ©e Ă  ses fournisseurs novembre 1997. De son cĂŽtĂ©, le 15 mai 1997, le Parlement europĂ©en a adoptĂ© une rĂ©solution apportant son soutien Ă  la campagne europĂ©enne Clean Clothes, une coordination rĂ©unissant des collectifs associatifs et syndicaux travaillant sur ce thĂšme dans neuf pays dont De l’éthique sur l’étiquette, en France. Cette rĂ©solution demande Ă  la Commission europĂ©enne de travailler Ă  la crĂ©ation d’un label social. Les rĂ©sultats obtenus en France en seulement deux ans, montrent que les distributeurs sont sensibles aux pressions des consommateurs. Il s’agit d’un phĂ©nomĂšne mondial qui prend de l’ampleur. Quelques exemples concernant la seule annĂ©e 97 FĂ©vrier 1997 accord entre les autoritĂ©s pakistanaises, le Bureau international du travail et l’Unicef, soutenu par une cinquantaine de marques amĂ©ricaines, visant Ă  Ă©liminer l’emploi d’enfants dans la fabrication de ballons de football cousus main, au Pakistan 75 % de la production mondiale, 7000 enfants concernĂ©s et Ă  amĂ©liorer leurs conditions de vie. Septembre 1997 Euratex, qui regroupe les industriels du trafic et de l’habillement, et la FĂ©dĂ©ration syndicale europĂ©enne de ce secteur ont signĂ© un code de conduite encourageant » les entreprises Ă  respecter les droits sociaux fondamentaux dĂ©finis par l’Organisation internationale du travail. Il s’agit d’une premiĂšre avancĂ©e, bien que le contenu de l’accord soit peu contraignant. Novembre 1997 accord entre les syndicats italiens et la multinationale italienne du jouet Artsana marche Chicco.... Cette derniĂšre, qui sous-traite une grande partie de sa production en Chine, s’engage Ă  faire respecter les rĂšgles de l’OIT. Elle accepte que cet engagement soit contrĂŽlĂ© par un organisme indĂ©pendant auquel les syndicats seront associĂ©s. DiffĂ©rentes actions pour 1998-1999 Sont prĂ©vues une mission du collectif dans deux ou trois pays du sud, des tournĂ©es de partenaires du Sud en France dans dix villes, la conception de matĂ©riel d’éducation et d’information affiche, kit campagne, publications, expos.... Parmi celles-ci, une campagne en direction des candidats aux Ă©lections europĂ©ennes de juin 1999 sera mise en place. Les collectifs ou associations localement seront invitĂ©s Ă  adresser un courrier aux candidats leur demandant de s’engager Ă  intervenir auprĂšs de la commission europĂ©enne afin qu’elle travaille Ă  la crĂ©ation d’un label social. Vous pouvez Ă©galement continuer d’envoyer des cartes postales aux directeurs des magasins de sports les plus proches ou au siĂšge national de ces entreprises. Christian Gautellier* Agir ici, ASPAL, CCFD, CemĂ©a, CFDT et notamment ses organisations ASSECO, fĂ©dĂ©ration HACUITEX et Services, Institut Belleville et SGEN, CIMADE, Collectif Guatemala, CSCV, Etudiants et DĂ©veloppement, FĂ©dĂ©ration Artisans du Monde, FĂ©dĂ©ration des Clubs Unesco, Francas, FrĂšres des Hommes, FSGT, JEC, JOC, LĂ©o Lagrange-Consommation, Ligue des Droits de l’Homme, Ligue de l’Enseignement, Max Havelaar-France, PEP, RITIMO. novembre 1998 - mai 1999 Pour toute information, contacter Christian Gautellier ou JoĂ©l Chanoir, au siĂšge de l’association nationale des CemĂ©a. Pour toute demande des documents de campagne, contacter directement le collectif De l’éthique sur l’étiquette, c/o FĂ©dĂ©ration Artisans du monde, 67 avenue de la RĂ©publique, 75011 Paris.© Site officiel des CemĂ©a Centres d’entraĂźnement aux mĂ©thodes d’éducation active FPDLG.
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